Ce principe, inscrit dans la Convention internationale des droits de l’enfant, garantit que les placements en famille d’accueil, en institution ou en toute autre forme de prise en charge soient périodiquement examinés pour s’assurer qu’ils restent dans l’intérêt supérieur de l’enfant. Ce droit vise à éviter que l’enfant ne soit maintenu dans une situation qui pourrait nuire à son développement, à son épanouissement ou à sa sécurité.
La réévaluation régulière du placement permet de vérifier si l’enfant reçoit l’accompagnement et les soins adaptés à ses besoins. Cela inclut aussi bien des critères affectifs et éducatifs que des considérations liées à la santé ou à la stabilité émotionnelle. Si le placement actuel ne répond plus aux attentes, des alternatives doivent être explorées, comme le retour dans la famille biologique, une nouvelle famille d’accueil ou un autre type de soutien.